Le paradis de l'imaginaire
Seule
Je sais l'effluve des regrets. Ton parfum hante encore tous les palais, érigé en ta gloire, en ton nom, à nos amours. Je revois tous les aspects, fascinante attirance pour les attraits, de tes troublants dehors gravés en moi pour toujours. Aujourd'hui ne
restent que les souvenirs, les amours disparaissent et s'en vont mourir. Fatalement les âmes s'égarent, les offenses annihilent des cœurs que tout sépare. Je sais l'alchimie des remords, les tristes pénitences où me mènent le sort. J'y est connu l'accout
umance, jusqu'à ce jour, à subir l'anémie de tes tendresses, je n'ai su discerner l'opprobre et et perdu ma sagesse. Et pourtant les tourments augurent les dénouements.
Et j'ai construit tous les palais pour que nous soyons les rois. J'ai offert tous les présents pour te garder près de moi. Eternellement. Mais mes passions t'ont fait fuir.
Je sais l'amertume des lendemains sans retrouvailles. L'âcre saveur d'aujourd'hui me suis où que j'aille. A subir l'avanie de tes passions qui dépérissent jusqu'à en perdre toutes les dévotions. Je ne veux que délivrance et fin à mes souffrances.
Je ne sais plus où tourna la chance, quelles furent les circonstances. Mais je concède qu'elles brisèrent mon existence. Et pourtant, j'ai comblé tous tes désirs, juste pour posséder ton sourire. Mais aimer demeure l'art de souffrir. Eternellement.
Oh, j'ai perdu mon amour. Je l'ai perdu pour toujours. Eternellement. Mais mes passions t'ont fait fuir. Je garde des souvenirs mais qui ne veulent plus rien dire. Eternellement. Mais mes passions t'ont fait fuir.
P.L
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Rêve
La solitude m'enlève
Comme dans un mauvais rêve
Je me résous
Lorsque je vois ses lèvres
Je sens monter la fièvre
Je l'avoue
Le renier serait un sacrilège
Mourir pour elle serait un privilège
Mais je suis seul, je suis triste et surtout
Je crois devenir fou,oui je suis à genoux
Si je verse une larme
Au souvenir de cette femme
Si j'évoque ses charmes
Si je parles de ma flamme
C'est parce que sa beauté
Me perce comme une lame
Si je parle de cette femme, cette femme
Si je porte le blâme
Et que je reste sans arme
Si ma vie est un drame
Et que j'ai le vague à l'âme
C'est que vivre sans elle
N'a pas vraiment de charme
Si je parle de cette femme, cette femme
Elle est venue ici
Et mon cœur fut pris assurément
Elle a boulversé ma vie
Mais elle me l'a repris en me quittant
Bien des fois elle a fait mon malheur
Très souvent elle a brisé mon cœur
Des sept merveilles du monde elle fait partie
Elle qui a pris ma vie
Oui je sais aujourd'hui
Et pour elle je ferais tout
Que soit permis entre nous
Un amour de mille flammes
Je donnerais mon âme en gage
Pour cette femme
Oh, je donnerai mon âme en gage
Pour cette femme
P.L
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