Le paradis de l'imaginaire
La tristesse d'un ange
Telles une divine intuition engendrée de la bonté de dieu, elle révéla la passion comme la foudre tombée des cieux. Tous mes serments d'allégeance sont injures en sa présence. Tant bien que j'en implore le ciel de pardonner mes offenses.
Mon âme est éperdue, tant ma raison est confondue, accablé par tant de grâce, figé par sa beauté de glace. Mes soupirs sont autant de parjures, que mes regards sont des injures. J'emporterai mes regrets, tel un terrible secret.
Et si la foi en mon cœur venait à trouver quelque place, j'irai lui confier les splendeurs des récits où les destins s'embrasent. Car frappée de mille outrages mon âme en ces rivages, devient l'objet d'une douleur suave, dont je demeure esclave.
Car les souffrances où mon âme est plongée, désunissent tous les amants épris aux amours ombragés. A l'aube de mes espoirs s'enivrent mes égards pour celle qui demeurera en ma mémoire. Mon âme est éperdue (je ne sais que dire), tant ma raison est confondu
e (et je veux mourir), accablé par tant de grâce, figé par sa beauté de glace (figé par sa beauté de glace). Mes soupirs sont autant de parjures (c'est ma douleurs que je cultive et je vais à la dérive). Mes regards sont des injures (et mon cœur, mon âme
s'enivrent). J'emporterai mes regrets, tel un terrible secret. Mon âme est éperdue (que Dieu me pardonne), tant ma raison est confondue (si mon âme déraisonne et m'inflige les peines des anges déchus. Mon âme est éperdue), accablé par tant de grâce, figé
par sa beauté de glace. Mes soupirs sont autant de parjures, mes regards sont des injures. J'emporterai mes regrets, tel un terrible secret.
P.L
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